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Débat sur les Violences faites aux femmes au CESE

Femmes pour le Dire, Femmes pour Agir est intervenue au Conseil économique et social le 25 novembre lors du débat d’actualité dans le cadre de la « Journée internationale pour l’élimination des violences à l’égard des femmes » – Combattre toutes les violences faites aux femmes, des plus visibles aux plus insidieuses.
« La délégation aux droits des femmes et à l’égalité du CESE dresse un panorama synthétique de l’ensemble des violences auxquelles les femmes peuvent être confrontées, en métropole et outre-mer. Elle montre l’ampleur du phénomène et alerte sur une question fondamentale de société qui doit amener chaque citoyen à s’interroger sur ses causes et les moyens d’y répondre.
Sensibiliser, informer et former constituent le triptyque impératif pour briser l’engrenage des violences. »
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Article de Respect Mag 25 novembre 2014

Par: Alexandra Luthereau

A l’occasion de la journée internationale des violences faites aux femmes, le conseil économique social et environnemental (Cese) publie le 25 novembre une étude sur les violences subies par les femmes, des plus visibles aux plus insidieuses.

« Combattre toutes les violences faites aux femmes, des plus visibles aux plus insidieuses », c’est l’objectif de l’étude publiée le 25 novembre par la délégation aux Droits des femmes du conseil économique social et environnemental (Cese).

Le quotidien gratuit 20 Minutes a dévoilé les chiffres forts de cette étude. On apprend ainsi que 20% des Françaises ont subi au moins une forme de violence dans l’espace public au cours des douze derniers mois, violence allant de l’insulte à l’attouchement. L’étude révèle qu’en 2013, 121 femmes sont décédées suite à des violences conjugales c’est à dire que tous les trois jours, une femme est tuée sous les coups de son conjoint ou ex-conjoint. Dans près de 50% de ces cas, des faits de violences antérieurs étaient connus de la police ou de la gendarmerie.

Autre point : seules 10% des femmes se déclarant victimes de viols ou de tentatives de viols portent plainte elles sont 16% à le faire quand il s’agit de violences conjugales.
Bernard Cazeneuve, le ministre de l’Intérieur, a redit dans une interview au journal Le Parisien, que la lutte contre les violences domestiques était une “priorité”. Il présente le 25 novembre, une convention pour faciliter et «systématiser le dépôt de plainte par les victimes».

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