« Aux États membres des Nations unies :
En tant que citoyennes et citoyens du monde, nous reconnaissons la nécessité que soit adopté un traité sur les crimes contre l’humanité.
Nous vous demandons de lancer les négociations et de le ratifier dans les plus brefs délais.
Le monde est en proie à des souffrances incommensurables, et l’adoption de ce traité s’inscrirait dans une démarche visant à prévenir et à sanctionner des atrocités commises à l’endroit des personnes les plus vulnérables, notamment les femmes et les jeunes filles, les enfants et les personnes autochtones ou en situation de handicap.«